Google Moon / épiderme Lunaire

Projet d’édition réalisé dans le cadre d’un workshop intitulé “Cf. Légende” dirigé par le graphiste Toulousain Pierre Vanni. L’édition accompagnée d’un objet faisant “preuve” ont été exposés du 27 octobre au 10 décembre 2011 à l’Espace Croix-Baragnon de Toulouse au côté des travaux premiers menés par Pierre Vanni Nouvelles Ruines – Chapitre 2 : “Mapping et autres légendes…”.

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Notre projet
Réalisation avec deux autres étudiants : Camille Boileau et Clément Marty


Exposition à l’Espace
Croix-Baragnon de Toulouse


Google Moon /
Épiderme lunaire

Par Clément Marty, Camille Boileau et Marina Costanzo

L’outil Google Earth propose une découverte de la surface lunaire, sur différents niveaux, d’une vision globale jusqu’à un point précis. À la manière d’un chercheur loufoque, ce projet fait état de trois analogies entre la surface de la Lune et ce qui constitue l’épiderme humain, du point de vue le plus général au plus pointu. Le principe de “mapping” (recouvrement de zones par le plaquage de textures 3D) appliqué par Google Earth devient alors l’épiderme de l’astre lunaire.

L’objet imprimé (présenté ci-dessus) est composé de trois « chapitres » présentant ces trois observations faites par l’utilisateur de l’outil Google Moon, mêlant des articles de journaux à des notes personnelles et des croisements avec d’autres documents. Ces interventions directes sur des articles qui présentent des informations considérées comme “fiables” relatant la conquête de la Lune permettent d’interroger la véracité des images données à voir par le géant Google.
Lisibles en tant qu’articles indépendants (Voir les posters en .pdf), les trois feuillets sont également abordables en tant qu’entité, sous la forme d’un journal, par l’intermédiaire de rapprochements graphiques et formels.

La surface positionnée dans l’espace (présentation à l’exposition) agit comme une manière formelle de présenter le propos du journal. Elle représente un recoupement entre les différentes peaux − le “mapping” de la Lune et la peau humaine, élevées au seul statut de surface. Cette surface est présentée comme une surface couvrante, à la fois flexible et rigide dans ses volumes, plaquée par le “mapping” où le volume ne prend vie que grâce aux jeux d’ombres, aux décrochés dans l’espace.

→ Dimensions : 380×578mm
→ 3 feuillets assemblés à la manière d’un journal
→ Papier type papier journal

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Pour plus d’informations et d’images sur le workshop : Cf. Légende

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